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Ness

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Que dire à propos de moi… pas grand chose sinon que j’ai toujours été une dévoreuse de livres et que depuis quelques années, j’ai la chance d’avoir fait de cette passion un métier.

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4 novembre 2011

Il y a deux ans, Eric Fottorino publiait L’Homme qui m’aimait tout bas, consacré à son père adoptif qui l’a élevé. L’année dernière, c’est un livre sur son père naturel qui paraît.
Questions à mon père, l’auteur revient sur sa relation en pointillée avec son père naturel qu’il n’a connu qu’à l’âge de 17 ans.
On retrouve certains passages entraperçu dans L’homme qui m’aimait tout bas et l’on découvre à la fois toutes les questions qu’un jeune homme peut se poser sur son père et des moments de vie entre deux hommes qui ne se connaissent pas et qui ne sont pas prêt à le faire.
J’avais été très émue à la lecture de L’Homme qui m’aimait tout bas. La relation entre ce père et son fils était d’une telle intensité qu’en voyant cet ouvrage ci dans les rayons de la bib je n’ai pas hésité une seconde.
L’histoire est beaucoup plus forte et intense parce que cette relation n’était pas naturelle au début ni pour l’un ni pour l’autre et qu’ils ont dû apprendre à s’apprivoiser. A la fin d’une telle lecture, on a qu’une envie, prendre son téléphone appeler ses parents pour leur dire à quel point on les aime.

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9 octobre 2011

Je ne saurais trop dire pourquoi mais je n'ai pas pu entrer dans ce roman. Je m'y suis reprise à plusieurs fois mais sans jamais dépasser la dixième page. Mais je ne vais pas lâcher prise si facilement d'autant plus que j'ai pu apprécier par le passé la prose de Léonora Miano

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2 octobre 2011

La première chose que je peux dire sur ce roman c'est qu'il m'a complètement déconcerté. J'ai même dû me forcer la main pour arriver non pas à le terminer mais à le commencer.
Dès les premières lignes, je suis demandé dans quoi je m'étais embarqué en demandant ce livre.
J'ai toujours entendu que du bien de cet auteur que je ne connaissait que de nom et que j'ai souvent confondu avec l'autre grand Murakami.

Je ne vais pas tergiverser plus longtemps : je n'ai pas aimé ce roman. Dans un premier temps j'ai été décontenancée par tous ces noms japonais que je n'ai su identifier puis par la personnalité même des personnages qui sont pour le moins atypiques.

Puis le groupe de jeune homme m'est apparu très étrange. Dans un premier temps, je me suis même demandé sur quoi j'étais tombé tant ils m'apparaissaient insignifiants. D'ailleurs, ils ne prennent de l'ampleur que dans la deuxième partie, là ou le roman prend enfin vraiment forme.
Par contre, la gueguerre que se livrent le groupe des jeunes hommes, et celui des 5 femmes, répondant toutes au même prénom est des plus prévisible. Même si la fin est extrême au possible, elle n'est quand même pas très révolutionnaire. Je l'ai lu en entier toutefois dans l'espoir de trouver quelque chose à dire de positive mais je n'ai pas trouvé. Tant pis....

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21 septembre 2011

Dialogue tout en douceur entre une belle-mère et une belle-fille. La première est envoyée en maison de retraite par ses trois fils et la seconde lui rend très régulièrement visite. Ces rencontres sont l'occasion pour la belle-fille d'apprendre à connaître un peu mieux la vieille dame avant qu'il ne soit trop tard.
Beaucoup de douceur et de justesse dans ce portrait de deux femmes que tout pourrait opposer mais qui malgré tout reste unie. Les souvenirs de l'une s'entrecroisant avec celles de l'autre permettent de découvrir qu'elles ne sont finalement pas si différentes.
Très belle écriture qui ne tombe jamais dans le pathos. Fabienne Swiatly effleure les mots et les émotions comme personne d'autre. Une très belle lecture qui mine de rien aborde de nombreux sujets.