- EAN13
- 9782709647465
- ISBN
- 978-2-7096-4746-5
- Éditeur
- JC Lattès
- Date de publication
- 20/08/2014
- Collection
- Littérature française
- Nombre de pages
- 360
- Dimensions
- 20,5 x 13 x 3 cm
- Poids
- 418 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Ce livre est en stock chez un confrère du réseau leslibraires.fr,
Cliquez ici pour le commanderAutre version disponible
« Une vie, et j’étais bien placé pour le savoir, vaut entre trente et quarante mille euros.
Une vie ; le col enfin à dix centimètres, le souffle court, la naissance, le sang, les larmes, la joie, la douleur, le premier bain, les premières dents, les premiers pas ; les mots nouveaux, la chute de vélo, l’appareil dentaire, la peur du tétanos, les blagues, les cousins, les vacances, les potes, les filles, les trahisons, le bien qu’on fait, l’envie de changer le monde.
Entre trente et quarante mille euros si vous vous faites écraser.
Vingt, vingt-cinq mille si vous êtes un enfant.
Un peu plus de cent mille si vous êtes dans un avion qui vous écrabouille avec deux cent vingt-sept autres vies.
Combien valurent les nôtres ? »
À force d’estimer, d’indemniser la vie des autres, un assureur va s’intéresser à la valeur de la sienne et nous emmener dans les territoires les plus intimes de notre humanité.Construit en forme de triptyque, On ne voyait que le bonheur se déroule dans le nord de la France, puis sur la côte ouest du Mexique. Le dernier tableau s’affranchit de la géographie et nous plonge dans le monde dangereux de l’adolescence, qui abrite pourtant les plus grandes promesses.
Une vie ; le col enfin à dix centimètres, le souffle court, la naissance, le sang, les larmes, la joie, la douleur, le premier bain, les premières dents, les premiers pas ; les mots nouveaux, la chute de vélo, l’appareil dentaire, la peur du tétanos, les blagues, les cousins, les vacances, les potes, les filles, les trahisons, le bien qu’on fait, l’envie de changer le monde.
Entre trente et quarante mille euros si vous vous faites écraser.
Vingt, vingt-cinq mille si vous êtes un enfant.
Un peu plus de cent mille si vous êtes dans un avion qui vous écrabouille avec deux cent vingt-sept autres vies.
Combien valurent les nôtres ? »
À force d’estimer, d’indemniser la vie des autres, un assureur va s’intéresser à la valeur de la sienne et nous emmener dans les territoires les plus intimes de notre humanité.Construit en forme de triptyque, On ne voyait que le bonheur se déroule dans le nord de la France, puis sur la côte ouest du Mexique. Le dernier tableau s’affranchit de la géographie et nous plonge dans le monde dangereux de l’adolescence, qui abrite pourtant les plus grandes promesses.
Commentaires des lecteurs
amour, drame, famille, timidité
Que vous dire que ce roman qui n'ai déjà été dit ? Il est bien évidemment question de bien plus de choses que d'indemnisations d'assurances. Il est question d'amour - de relations parents-enfants - d'hérédité - de beaux parents. Mais ...
Lire la suiteOn ne voyait que le bonheur
Antoine le narrateur connaît la valeur des choses, la valeur d'une vie. Avec cet ouvrage Grégoire Delacourt prend un virage à 180 degrés. On retrouve dans ce roman la plume de l'auteur de "La liste de mes envies" la profondeur ...
Lire la suiteOn ne voyait que le bonheur
Antoine,le narrateur connaît la valeur des choses. Il connaît la valeur d'une vie. Avec ce roman Grégoire Delacourt prend un virage à 180 degrés. On retrouve dans cet ouvrage la plume de "La liste de mes envies" la profondeur en ...
Lire la suite