- EAN13
- 9782373850888
- ISBN
- 978-2-37385-088-8
- Éditeur
- Les Éditions du Sonneur
- Date de publication
- 25/10/2018
- Collection
- La grande collection
- Nombre de pages
- 232
- Dimensions
- 21 x 14,2 x 2 cm
- Poids
- 308 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Les Assoiffes
De Jim Tully
Traduit par Thierry Beauchamp
Les Éditions du Sonneur
La grande collection
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Pionnier du hard-boiled, Jim Tully fut le premier à donner une voix aux immigrés irlandais, loin des stéréotypes et des caricatures de l'époque. Témoignage émouvant sur une minorité opprimée, Les Assoiffés dessine aussi – en filigrane – le portrait d'un conteur déchiré entre son héritage et son désir de reconnaissance.
Les Assoiffés
(Shanty Irish), publié en 1928, est le cinquième livre de Jim Tully qui s'était fait connaître par le récit de sa jeunesse de hobo dans
Vagabonds de la vie, Autobiographie d'un hobo
en 1924. Son grand projet était de constituer une sorte de " comédie humaine des bas-fonds " dont chaque épisode aurait eu pour cadre un milieu qu'il avait vu de près. Il commença avec les " vagabonds du rail " et enchaîna avec " les ouvriers du cirque " dans
Circus Parade
avant de revenir à sa famille et ses origines irlandaises dans Les Assoiffés.
Les Assoiffés
est composé de tranches de vie des membres de sa famille dont la personnalité ou le destin firent écho au sien : son grand-père, grand conteur de bistrot ; son père terrassier, taillé comme un gorille et qui passait des heures à lire malgré sa myopie ; sa mère au grand cœur et à la foi imprégnée de folklore celtique ; son oncle John Lawler, gibier de potence au magnétisme animal...
Pionnier du hard-boiled, Jim Tully fut le premier à donner une voix aux immigrés irlandais, loin des stéréotypes et des caricatures de l'époque. Témoignage émouvant sur une minorité opprimée,
Les Assoiffés
dessine aussi – en filigrane – le portrait d'un conteur déchiré entre son héritage et son désir de reconnaissance.
Comme les deux précédents, le livre rencontra beaucoup de succès en Amérique et au Royaume-Uni, et s'attira les louanges de H. L. Mencken, critique redouté : " Tout comme Gorki, Jim Tully a le pouvoir de faire vivre les misères des pauvres et des désespérés, mais il a en plus un sens de l'humour qu'on n'imaginerait pas chez un Russe. Dans
Les Assoiffés
, j'ai l'impression qu'il est allé encore plus loin que d'habitude. Ce récit n'est pas seulement remarquablement réaliste, il a aussi une belle qualité poétique. "
Les Assoiffés
(Shanty Irish), publié en 1928, est le cinquième livre de Jim Tully qui s'était fait connaître par le récit de sa jeunesse de hobo dans
Vagabonds de la vie, Autobiographie d'un hobo
en 1924. Son grand projet était de constituer une sorte de " comédie humaine des bas-fonds " dont chaque épisode aurait eu pour cadre un milieu qu'il avait vu de près. Il commença avec les " vagabonds du rail " et enchaîna avec " les ouvriers du cirque " dans
Circus Parade
avant de revenir à sa famille et ses origines irlandaises dans Les Assoiffés.
Les Assoiffés
est composé de tranches de vie des membres de sa famille dont la personnalité ou le destin firent écho au sien : son grand-père, grand conteur de bistrot ; son père terrassier, taillé comme un gorille et qui passait des heures à lire malgré sa myopie ; sa mère au grand cœur et à la foi imprégnée de folklore celtique ; son oncle John Lawler, gibier de potence au magnétisme animal...
Pionnier du hard-boiled, Jim Tully fut le premier à donner une voix aux immigrés irlandais, loin des stéréotypes et des caricatures de l'époque. Témoignage émouvant sur une minorité opprimée,
Les Assoiffés
dessine aussi – en filigrane – le portrait d'un conteur déchiré entre son héritage et son désir de reconnaissance.
Comme les deux précédents, le livre rencontra beaucoup de succès en Amérique et au Royaume-Uni, et s'attira les louanges de H. L. Mencken, critique redouté : " Tout comme Gorki, Jim Tully a le pouvoir de faire vivre les misères des pauvres et des désespérés, mais il a en plus un sens de l'humour qu'on n'imaginerait pas chez un Russe. Dans
Les Assoiffés
, j'ai l'impression qu'il est allé encore plus loin que d'habitude. Ce récit n'est pas seulement remarquablement réaliste, il a aussi une belle qualité poétique. "
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