- EAN13
- 9782211300995
- Éditeur
- Globe
- Date de publication
- 10/09/2019
- Collection
- Globe
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Voilà treize ans qu’ils sont ensemble. Pourquoi le pronom « je » a-t-il
disparu, corps et âme, de la langue de leurs couples ? Quand les bras grands
ouverts de la maternité se sont-ils refermés comme les dents d’un piège ?
Pourquoi le pronom « je » a-t-il disparu, corps et âme, de la langue de leurs
couples ? À Londres, dans une ville amoureusement parcourue et habitée, de
l’élection de Barak Obama à la mort de Michael Jackson, deux couples se
débattent avec leur histoire, le travail, la quarantaine, les illusions
perdues, et leur statut d’émigrés de la deuxième génération devenus parents à
leur tour. Ils ont cru à l’intégration, voilà qu’ils se désintègrent. Là-haut,
sur sa colline de la rive Sud, le phare du Crystal Palace les veille. La vie
doit-elle, comme lui, accepter de voir ses facettes et ses façades tomber en
mille morceaux pour être rebâtie ailleurs, en trois fois plus grand ? Avec
brio, avec verve, avec un scalpel trempé dans un élixir de poésie, Diana Evans
répond.
disparu, corps et âme, de la langue de leurs couples ? Quand les bras grands
ouverts de la maternité se sont-ils refermés comme les dents d’un piège ?
Pourquoi le pronom « je » a-t-il disparu, corps et âme, de la langue de leurs
couples ? À Londres, dans une ville amoureusement parcourue et habitée, de
l’élection de Barak Obama à la mort de Michael Jackson, deux couples se
débattent avec leur histoire, le travail, la quarantaine, les illusions
perdues, et leur statut d’émigrés de la deuxième génération devenus parents à
leur tour. Ils ont cru à l’intégration, voilà qu’ils se désintègrent. Là-haut,
sur sa colline de la rive Sud, le phare du Crystal Palace les veille. La vie
doit-elle, comme lui, accepter de voir ses facettes et ses façades tomber en
mille morceaux pour être rebâtie ailleurs, en trois fois plus grand ? Avec
brio, avec verve, avec un scalpel trempé dans un élixir de poésie, Diana Evans
répond.
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